J’étais donc très content d’être là, et ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé.
Philippe Geluck répond en vrac à toutes les questions. Comment a-t-il réagit devant le canular sur les télés belges à propos de l’indépendance de la Flandre et la dissolution de la Belgique ? Amateur de bonnes blagues, l’humoriste s’est tout de même trouvé gêné. Où faut-il s’arrêter ? Ne risque-t-on pas de perdre la confiance des spectateurs ? Et il nous montre un dessin à la une du quotidien belge Le Soir : une famille qui rigole devant les massacres au Darfour en disant que c’est drôlement bien fait, qu’on dirait presque que c’est vrai…
Le chat président, qu’est-ce que c’est que cette histoire ? C’est une petite variation du thème des agendas Le Chat de cette année. Ce devait être juste un petit blog rigolo mais ça devient un vrai phénomène avec de plus en plus de visiteur. (D’ailleurs, nous aussi, on soutient Le Chat ! Visitez le site !)
A la question « est-ce que vous pouvez nous faire un dessin du Chat ? », il répond non. Le Chat ne se dessine pas comme ça sur un coup de tête. C’est, explique-t-il, un vrai processus de création qui demande du temps et du travail.
Il nous parle aussi de la radio, de Ruquier, de la télé, de Drucker, des invités auxquels il a écrit ses lettres (et dont un recueille est disponible en librairie), de son travail, de ses choix… Il se montre d’une très grande gentillesse, un vrai monsieur aux multiples talents et au CV qui déborde. Une rencontre qu’on n’est pas près d’oublier.
M. F.
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